Ma devise c’est : « Pour être un pratiquant il faut pratiquer. Alors pratiquons !«
Je sais que c’est dur de temps en temps de se motiver pour aller s’entraîner. On a tous une famille, du travail, des corvées, des devoirs… Cela ne s’arrête jamais. Il faut prendre le temps ! Malheureusement tout le monde n’est pas du même avis. Avec près de 20 ans d’enseignement professionnel, j’ai eu toutes sortes d’excuses pour ne pas venir au dojo.
Les excuses pour ne pas aller au dojo
Voici donc les 56 pires excuses que j’ai entendu ou lu (merci pour votre aide sur Facebook)
A lire au premier degré et avec humour 😉
- J’ai oublié
- J’ai pas le temps
- Je suis fatigué
- Je suis blessé
- J’ai trop de travail
- J’ai trop de devoirs
- Ma tenue est au sale ou pas repassée
- Je suis puni
- Je suis collé
- Un décès dans la famille
- J’ai pas récupéré de mon week-end cuite
- J’ai des problèmes
- J’ai perdu mon karate-gi (tenue)
- C’est tendu à la maison
- Ma femme est dépressive
- J’ai loupé l’heure
- Je me suis endormi en rentrant du boulot / école
- Je déménage un copain
- Panne d’essence – J’ai crevé…
- J’ai eu un accident
- Pas envie
- Ma nounou était malade ou en retard
- Je vais au ciné
- Autre chose à faire
- J’ai match de foot – rugby
- Je vais regarder un match
- Mon chien à manger ma tenue
- Je suis venu la semaine dernière je ne veux pas me sur-entraîner
- C’est samedi
- C’est dimanche matin, le jour du seigneur
- Jeudi soir c’est soirée étudiante
- Je viens demain
- Je viens le mois prochain
- Je reviens la saison prochaine
- Je vais rater «l’épisode final », le match, etc.
- Ce soir c’est cours combat et j’aime pas le combat
- Ce soir c’est technique et j’aime pas les kata
- Personne de mon niveau dans le cours
- Je suis malade (grippe, gastro, rhino, etc.)
- Je suis en vacances
- Je suis en week-end à la montagne
- Je suis en week-end à la plage plage
- J’ai sortie scolaire
- Je suis en partiel
- J’ai mon mémoire à finir
- Je suis de mariage
- Je me suis perdu sur la route
- Mon poisson rouge est mort
- J’en ai pas besoin
- J’amène mon chien chez le toiletteur
- Soirée pistache chez ma grand-mère
- Bloqué par la neige (mois de juin dans le sud-est)
- Mon petit frère à jeté ma ceinture par la fenêtre
- Il y a trop de monde dans le dojo, je peux pas m’entraîner correctement
- Il y a pas assez de monde dans le dojo, je ne peux pas m’entraîner correctement
- J’ai déjà ma ceinture noire 🙁
Vous en avez entendu d’autres ? N’hésitez pas à les partager ci-dessous !
28 commentaires
J ai vraiment mauvaise concience quand je ne vais pas au Dojo …. je m y sens bien ,
L entraineur me dit je suis celle qui manque le moins. ..
Mais en tant que maman ce n est pas facile d y aller à chaque séance ,
…..que pensent les autre maman?…
Bonjour Christine,
C’est déjà une bonne chose d’avoir mauvaise conscience. Cela prouve ton engagement envers ta pratique. Tu portes un regard sur toi même et ta pratique.
Je comprends totalement qu’en tant que parents il n’est pas toujours évident de tout gérer.
Je suis papa, et je pense que les enfants sont une priorité absolue. Donc, Maman, c’est un véritable travail (le plus beau) qui demande courage et abnégation, ce qui n’est plus assez dit dans notre société aujourd’hui. Il y a le Dojo, la vie et les enfants. Le Dojo ne doit jamais être une source de pression. Si tu dois manquer un entraînement, tu le manques…, et puis c’est tout ! Tu te donneras deux fois plus à la prochaine. Ce que l’on doit ne jamais oublier, c’est que le Karaté-Do est l’ami le plus fidèle et le plus compréhensif, alors de ce point de vue pas de problème. Après, si réflexion il y a, n’oublies jamais que lorsque tu traverse une épreuve, dans la vie, tu es très souvent seule à affronter les problèmes et les régler. Donc, au fond, tu ne dois rien à personne, si ce n’est à toi, ton Karaté-Do, et tes enfants ! Et surtout, n’oublies jamais que TON Karaté-Do et TON Dojo sont source de plaisir, d’envie et d’amitié et que, très souvent, si il y a pression, cela vient souvent de nous-même… Alors, KEEP COOL et fais-toi plaisir !!!
56 mais aucune valable 🙂
Je suis venu la semaine dernière je ne veux pas me sur-entraîner
– Je dois ranger ma chambre
– J’ai piscine
– J’avais sport a l’école
C’est vrai mais aucune valable ððð
aucune de valable si ce n’est le décès dans la famille.une des seules fois ou j’ai loupé des entrainements pour ma part!
J’ai poney !
Je n’aime pas le prof…
Celle-là on ne l’a jamais faite 🙂
Aujourd’hui c’est pompes et abdos et je n’aime pas les pompes et les abdos.
pourquoi chercher des excuses tu veux ou tu veux pas…assumons nos choix ! moi je veux…
Sur toutes ces excuses, y en a des folkloriques mais certaines peuvent être sûrement valable, moi ça m’arrive comme tout le monde, je finis le boulot vers 17h , je rentre a la maison et lorsqu’il faut repartir a 19h en hiver, Îl fait froid , nuit …..dur…durc’est pas une bonne excuse je l’avoue mais ça m’a arrivé de temps en temps. En fait çe qui me motive c’est que je me dis le prof est bénévole Îl fait cela depuis plus de 20ans et se tape deux cours par semaine, alors pour lui et par respect pour çe qu’il fait pour nous et bien je me mets un grand coup de pied dans les fesses!!
Si tous les élèves pouvaient se botter les fesses comme toi, se serait génial 😉
Belle continuation à toi
La 56 est tellement fréquente… ð
Bon ben ce soir c’est soirée pistache !
57/ suite à 4 opération du genou (3 x croisée externe et 1 x ménisque) mon toubib me là interdit
j’en ai déjà entendu plusieurs de celles là !!
J ai été le souffre douleur de ma prof,pendant des années, je pleurais le soir en rentrant je n ai rien lâchée,je me suis accrochée à ses cours , malgré les réflexions souvent pas sympathique,certain m’ont même dit de changer de club,je suis resté dans mon club. Je suis à présent 1 er dan et je prépare le second,j ai passé mon daf et tout ça grâce à elle, et en plus je l adore,et pour rien au monde je ne raterai mon cours du jeudi. J’y vais même si j ai de la fièvre, ce qui compte pour moi c est d avoir un excellent prof et tans pis pour le reste,grâce à cela je suis devenue plus forte moralement, à présent tout est rentré dans l ordre
Merci Machado d’avoir partagé avec nous ton histoire. Tu es la preuve que Nintai (persévérance) paye. Et que ton professeur faisait apparement tout pour te faire avancer, même si des fois cela à pu être douloureux. Le chemin des arts martiaux n’est pas pavé de rose, ou alors avec beaucoup d’épines 🙂
Bonne continuation et préparation de ton nidan.
J aime bien l excuse : mon chien a mangé ma tenue lol
Ãa sera pas demain mais mercredi pour moi :p
En general les vrais pratiquants sont assidus peut importe leurs états physique apres néanmoins il y a toujours les impondérables qu on ne peut pas contrôler malheureusement étant soutien de famille îl m est arrivé de louper une fois une semaine d’entraînement ( 3 cours par sem) en 8 ans de pratique pour la cause d’un décès , mon enseignant l’a bien compris que ce n’était pas un caprice , c’est aussi grâce à lui a l’équipe et à l’art que je pratique que j’ai pu remonter la pente
En tout cas pour moi c’est reprise de la capoeira mercredi et chaud bouillant 😀
« Je suis déjà ceinture noire 🙁 » <– Alors celle là c'est ma préférée!
Moi, un ado m’a dit qu’il une fois je veux pas m’entraîner car mon partenaire ne veux pas travailler, je lui ai répondu: »Tu viens au dojo pour toi, pour ton entrainement pas pour tes partenaires, s’ils veulent pas travailler c’est leur choix, mais toi fait ton possible pour travailler ce que l’on te demande! » La semaine d’après, il est revenu avec 4 fois plus d’envie que les autres. De plus dans mon club, notre Prof fait 100 kms aller retour pour nous faire cours et ce 4 fois pas semaine, donc ne pas aller au dojo, pour moi est un manque de respect envers lui. Il n’est que bénévole, çà beaucoup de gens, et notamment parents l’oubli. Moi les seules fois ou je me suis pas rendu au dojo, c’est quand mes enfants sont malades, mais avec 4 cours par semaine on arrive toujours à y aller.
Bon courage à tous et sachez que c’est pour vous que vous travailler pas pour l’autres.
Quand tu fais un métier du lien, et que tu ne peux pas quitter le boulot à l’heure pour aller au cours.