On associe presque toujours le karaté au Japon. C’est logique… mais historiquement inexact.
Dans cette vidéo, je reviens sur une idée reçue très répandue : le karaté n’est pas né au Japon, mais à Okinawa, à la croisée de plusieurs influences culturelles, notamment chinoises.
Aller plus loin dans la compréhension et l’enseignement du karaté
Si ces questions d’histoire, de sens et de transmission t’intéressent, j’ai créé en 2019 le Club Vidéo de Karaté : une plateforme des streaming dédiée aux pratiquants et enseignants qui veulent approfondir leur compréhension du karaté, améliorer leur pédagogie et faire progresser leurs élèves avec cohérence. Découvre le Club Vidéo de Karaté
Comprendre cette origine change profondément notre regard sur le karaté : sur ses techniques, sur son esprit… et surtout sur la manière dont il est enseigné aujourd’hui.
Pourquoi cette confusion est-elle si répandue ?
L’histoire du karaté a souvent été simplifiée, parfois volontairement, pour l’intégrer dans un cadre plus large des arts martiaux japonais. Mais cette simplification a eu un effet secondaire :
elle a figé certaines pratiques et certaines méthodes d’enseignement.
Or, le karaté est à l’origine un art vivant, pragmatique, adaptatif.
Ce que cette vidéo va t’apporter
Dans cette vidéo, je t’explique :
- d’où vient réellement le karaté
- pourquoi son rattachement exclusif au Japon est trompeur
- ce que l’héritage d’Okinawa change dans notre compréhension de pratiquant
- et en quoi cette origine influence directement la pédagogie, la transmission et le travail avec les élèves.
Ce n’est pas une vidéo polémique, mais une mise au point pour tous ceux qui pratiquent, enseignent ou transmettent le karaté.
Histoire, pratique et pédagogie sont liées
L’histoire d’un art martial n’est pas qu’un détail culturel. Elle influence :
- la façon dont on s’entraîne
- ce que l’on valorise techniquement
- et la manière dont on enseigne aux autres
Mieux comprendre l’origine du karaté, c’est aussi mieux le transmettre.
Livre autobiographique de Gichin Funakoshi







